

Mars 2018
Les Cahiers Numéro 9 sortent début avril
Lancement le 4 avril à 20H30, salle du Carré, à Figeac
Dans les Cahiers Numéro 9, vous trouverez, comme toujours, de belles photos, dont certaines dues à des photographes reconnus (Jean Cazelles, Julien Charles, Patrice Lacroix… ) et des textes alléchants.
Le propos du président fait le point sommairement sur « la santé » du magazine et, dans la partie « Lu pour vous » présente un extrait de texte de l’Enfer de Dante. Il devrait susciter quelques commentaires…
Louis Gombaud, notre philosophe, nous entretient de la notion de luxe : inutile ou superflu, à chacun de se faire son idée ;
Nous rendons ensuite un hommage à notre ami, membre du Conseil d’Administration du magazine, Roger Poujade qui livre un dernier texte sur son beau village de La Vinzelle ;
Notre président propose un extrait d’un de ses ouvrages Bateliers du Lot (Ed. du Rouergue 2015) : De l’Olt au Lot, Une rivière au nom changeant ;
Arnaud Mirabel est architecte paysagiste. Il nous incite à regarder autrement ce vieux pays d’Aubin-Decazeville ;
Geneviève Joly-Duprat, auteure habituée de notre magazine, pour notre plus grand plaisir, nous amène rêver devant la héronnière de Prayssac. Le beau texte est accompagné de magnifiques photos dues à Patrice Lacroix ;

Le poète Gilles Lades (qui, par ailleurs, rentre au Conseil d’Administration) continue et termine sa présentation, extrêmement poétique, du Figeacois. Belle écriture, qui ressemble très souvent à de la poésie pure. Ces textes seront réunis d’ici la fin de l’année en un livre préfacé par Yves Leclair, c’est dire !
A propos de poésie, Anne-Marie Bernad évoque celle de Jean Digot, également découvreur de talents, qui fonda « L’Ecole de Rodez », entre autres choses…
Un petit mais savoureux texte de Laurent Roustan nous entraîne du côté de Gaston Phébus qui, de ce que l’on en sait, fut l’auteur du Se Canta.
J’ai lu beaucoup de choses de et sur Clément Marot, de Cahors. La présentation de Louis Gombaud me le fait appréhender différemment, de façon bien plus sympathique et peut-être même essentielle dans le contexte littéraire de son époque.
Jean Rudelle est certainement devenu le meilleur spécialiste de la route du fer qui amenait le minerai de Montalazac à Decazeville pour alimenter les hauts fourneaux. Les ouvrages d’art, aujourd’hui malheureusement détruits, voisinent avec la voie ferrée. On découvre un ingénieur, Cabrol, qui fait bien et beau…Jean nous a fourni également ses photos.
Isabelle Poujol est historienne de l’art. Elle a été saisie par le tableau, placé tout au fond de l’église de Decazeville, là où il fait le plus sombre ( !), de Jean Ségalat, le Christ-ouvrier mineur. Elle nous dit son ressenti. A noter que la très belle photo est de Jean Cazelles.
Enfin et comme à chaque numéro, Gérard Pertus présente une chanson Occitane du Lot…je devrais dire d’Olt !
Au total, il y en a donc pour tout le monde … En attendant le n°10 qui sortira début juillet, avec encore de belles surprises !
ARTICLES RÉCENTS
Guy Brunet
GUY BRUNET L'homme qui fait son cinéma Guy Brunet est un homme courtois, chaleureux, à l’écoute de son interlocuteur et, en même temps un peu méfiant, il craint de se « faire rouler dans la farine », de se « faire avoir »,...
Le musée Champollion
S’il est un personnage qui méritait absolument d’inscrire son nom sur le fronton d’un musée, c’est bien Champollion ! S’il est une ville qui se devait de l’accueillir, c’est, évidemment, sa ville de naissance, Figeac
Le Lot
le Lot est un « sillon de vie » en même temps qu’un trait d’union, « une sorte de dieu déchu dont, à notre insu, nous ne nous serions pas exonérés de l’antique grandeur ».
La tintin del molin
la tintin del molin est une chanson de meunier de la belle vallée du Lot. Chantée par le groupe Olto en langue d’oc et présentée par Gérard Pertus
Valòia d’Òlt
Gérard Pertus nous présente Valòia d’Òlt. Une chanson de Patric, le troubadour du vingtième siècle. Une chanson en l’honneur de notre belle rivière, en langue occitane

Nous aimerions vous dire un dernier mot:
Vous êtes de plus en plus nombreux à lire les Cahiers de la belle vallée sur le web, et nous nous en réjouissons. Nos publications de qualité ont un coût. Nous sommes une association à but non lucratif , nous ne sommes rattaché à aucun groupe industriel. Les Cahiers de la belle vallée sont totalement indépendants. Pour nous aider à faire vivre la culture, l’Histoire, les Arts et le Patrimoine de la belle vallée du Lot, votre soutien est précieux

– Recevez gratuitement un livre des éditions Les Cahiers de la Belle Vallée du Lot
– Abonnement d’un an (trois numéros). Participation aux frais de port incluse
– Le tarif comprend également l’adhésion à l’association Les Amis de la belle vallée du Lot

0 commentaires